Nous sommes au 16ème siècle. A l’époque, le secret de la prospérité d’Anvers n'est pas dans la situation que la ville occupe au bord de son fleuve, si excellente eut-elle été, et il n'est pas non plus dans l'...
L’endroit a de quoi surprendre. Plus de 2 000 véhicules datant d’avant 1975 éparpillés dans un vaste boisé. Boisé qui s’est d’ailleurs fait un chemin à travers les carcasses rouillées qui sont lentement recouvertes d’une végétation qui reprend ses droits au fil des saisons.
Le propriétaire, Jean-Paul Colmor, est fort sympathique, bien que très bavard. C’est lui qui nous racontera qu’à cause de l’Expo 67, la ville de Montréal avait envoyé chez lui tous les véhicules abandonnés ou non plaqués qui se trouvait dans un rayon de plusieurs kilomètres autour des différentes attractions.
Ce qu’il en reste aujourd’hui, c’est des rangées et des rangées de voitures, parfois stationnées, parfois empilées les unes sur les autres. Les parebrises sont fracassés et des herbes poussent sur les bancs et dans les coffres arrière. Certaines sont enfoncées à ce point dans la terre qu’on ne distingue plus les pneus.
Par moment, on a l’impression d’être dans un décor post-apocalyptique à la Walking Dead. Un zombie s’y sentirait comme à la maison.
Pour le reste, le sentiment d’avoir à faire à un ramasseur compulsif prend de l’ampleur lorsqu’on regarde tous les déchets qui s’accumulent ici et là. Par moment, le site a des airs de dépotoir à ciel ouvert, bien que le tout soit relativement bien classé malgré tout…
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