En 1900, la Belgique est le quatrième producteur de charbon au monde.
De nombreux travailleurs étrangers s'expatrient dans les différentes mines belges : turcs, portugais, polonais, grecs, maghrébins, etc....
Abandonné depuis décembre 1993, l'ancien incinérateur des Carrières, surnommé l'incinérateur #3 sert aujourd'hui, en partie, d'entrepôt à la Ville de Montréal. Il est d'ailleurs l'un des rares lieux d'urbex où on retrouve l'électricité dans une portion de l'édifice.
Fermé à la suite des concentrations trop élevés de dioxines et de furannes, l'histoire de l'incinérateur des Carrières remonte en 1929 alors qu'on y amorce la construction d'un premier incinérateur sur le site. Grâce à sa capacité d'incinération de 300 tonnes par jour, il permit à la Ville de supprimer les petits incinérateurs domestiques, devenus désuets et dangereux, et les dépotoirs, qui prenaient de plus en plus de place et d'où émanaient de très mauvaises odeurs.
Malgré tout et ce, sans grande surprise, le site est responsable de la détérioration de la qualité de l'air dans le quartier. On décide donc de construire, tout juste à côté, un nouvel incinérateur: le #3. Présentées à l'époque comme l'incinérateur le plus moderne du Canada et même des États-Unis, les installations étaient dotées de systèmes de récupération de la chaleur et de mesures antipollution. Au fil des ans, on découvrit que malgré ses nombreuses innovations, l'incinérateur s'avéra extrêmement dommageable sur la santé des citoyens habitants autour. Suite à ce constat, le site fut donc définitivement fermé à la fin de l'année 1993.
En 2010, une évaluation pour démolir les installations et le nettoyage du site a été évaluée à 15 millions de dollars, ce qui a entrainé un statu quo de la Ville, refusant d'engager un tel montant pour sa démolition.
Malgré sa fermeture il y a plus de vingt ans, il faut avouer que le site est toujours dans un excellent état. Il y a bien un mètre d'eau dans le sous-sol, de la glace ici et là et du vandalisme qui a été fait au fil des années, mais n'en demeure pas moins que sa structure est toujours aussi droite.
En 1900, la Belgique est le quatrième producteur de charbon au monde.
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