Nous sommes en 1887 près de quatre ans après la fondation de cette municipalité des Laurentides. Arrivées de ville Saint-Laurent après quatre jours de route en barouche (calèche), deux religieuses Marianites de Sainte-Croix ont la dure tâche de...
Situé à Sherbrooke en bordure de l’autoroute 410, le relais St-François est un ancien centre pour jeunes délinquants aujourd’hui abandonné. Complètement saccagé, l’édifice ne présente plus beaucoup d’intérêt. L’eau y a fait des dommages, mais il faut avouer qu’ils sont bien minces à côté du vandalisme et des graffitis qui en font aujourd’hui une coquille vide dénuée de toute valeur.
Abandonné depuis une dizaine d’années, le bâtiment a été construit en 1971. Immense structure de béton, son aspect est sobre et sa construction a dû être motivée par un budget serré et bien peu garni. Le résultat en est un grand bloc carré gris et brun à l’image du bonheur qui devait régner en ses murs.
Aujourd’hui menacé par les pics de démolition, l’immeuble appartient à Olymbec depuis 2009 et ce dernier a annoncé en mai 2103 un projet résidentiel d’au moins 12 millions de dollars. Le terrain de plus de 400 000 pieds carrés serait vendu à Gestion immobilière Santi, surtout active dans la région de Magog. Le projet devrait débuter l’an prochain à condition que l’entreprise obtienne le changement de zonage du terrain afin d’y réaliser son imposant projet résidentiel.
Les jours du relais St-François sont donc comptés…
Nous sommes en 1887 près de quatre ans après la fondation de cette municipalité des Laurentides. Arrivées de ville Saint-Laurent après quatre jours de route en barouche (calèche), deux religieuses Marianites de Sainte-Croix ont la dure tâche de...
Ces mots sont inscrits sur une plaque en bronze à l'entrée du bâtiment administratif de l'institut psychiatrique de Forest Haven.
Situé à Laurel au Maryland, l'asile Forest Haven avait la triste réputation d'offrir des conditions...
Je vais être honnête avec vous : je n’ai jamais vu un bâtiment envahi d’autant de champignons. Ça en est épeurant. Ils poussent partout : sur les portes, le plancher, le plafond, les murs… C’est comme si on en avait fait la culture et qu’ on en...
Il y a de ces institutions que l’on croyait être l’âme d’une région et qui se retrouvent sans que l’on ne sache trop pourquoi d’énormes carcasses dignes de la lugubre des cours à ferraille. Avec la liste de fermeture d’entreprises qui ne cessait...