Le plateau de tournage abandonné

Situé en pleine campagne au milieu d’un territoire où l’Homme a cédé la place aux moustiques et autres mouches noires qui vous dévore jusqu’à l’os, le plateau de tournage est composé de cinq maisons, une église et de plusieurs bâtiments de ferme.

À l’exception des granges, tous les bâtiments sont des coquilles vides. Mis à part un plancher (chambranlant), on n’y retrouve rien d’autre que des murs en contre-plaqué et 2x4 apparents qui confirme que tout ceci est artificiel.

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Le sanatorium abandonné de Saratoga

La quiétude enveloppant le vieux sanatorium Homestead situé dans le conté de Saratoga est illusoire. La neige qui recouvre le bâtiment pourrait laisser croire que tout est calme ici, mais ne vous laissez pas berner, les apparences sont trompeuses. C’est qu’une épée de Damoclès pèse au-dessus du vieil institut. Et le crin de cheval retenant la lourde épée s’effrite plus rapidement que les murs du sanatorium.

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La vieille usine américaine abandonnée

C’est l’histoire classique d’une usine où son propriétaire a délocalisé sa production vers de lointaines contrées. Une longue histoire liée à une ville qui a grandi autour des centaines d’emplois que cet employeur procurait à ses citoyens. Et ce jour fatidique où ses cheminées ont cessé de cracher sa fumée noire. C’était en 2010.

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L'hôtel Grossinger abandonnée

L’histoire de l’hôtel Grossinger, c’est avant tout celle d’une famille d’immigrants juifs autrichiens arrivés à New York et dont le paternel s’est fait un jour prescrire par son médecin d’aller se refaire une santé à la campagne.

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L'hôpital psychiatrique abandonné de Hudson River State

Le site n’est pas juste grand, il est immense. 120 hectares (296 acres), soit un peu moins que la moitié de Central Park à New York. En tout, une vingtaine de bâtiments formaient cet énorme complexe psychiatrique qu’était le Hudson River State Hospital.

Le premier pavillon ouvre en 1873. De style victorien gothique, cet immense bâtiment est divisé principalement en trois parties. Séparées par une partie centrale qui comprend l’administration, deux ailes permettent de soigner les hommes d’un côté et les femmes de l’autre. C’est le système Kirkbride.

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Le poste de police abandonné

Utilisé comme entrepôt, l’endroit n’est pas des plus intéressants, mis à part ses cellules. Fermé il y a trois ans, il est aujourd’hui l’élément de dispute entre l’agglomération où il se trouve et la ville voisine propriétaire des lieux à laquelle elle fut jadis fusionnée.

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La caserne Fernandel

Aujourd’hui livrée à elle-même, la caserne Busserade se trouve au sein d’une entité de quatre casernes : Le Muy, Bugeaud, Busserade et la Manutention Militaire. La caserne du Muy, dénommée Saint-Charles à l'origine, a été longtemps considérée comme la plus belle et la plus grande de France. Construite entre les années 1860 et 1869 sur les plans et les dessins du Colonel Guillemaud du Génie Militaire, ce monument, offert par Napoléon III à son frère, prend position dans l’ancien quartier militaire de la Belle de Mai.

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L'ancien asile psychiatrique

Le complexe est immense et compte plusieurs bâtiments rattachés par un ingénieux système de tunnels qui relie tous les édifices. S’y perdre est un véritable jeu d’enfant et sans ces codes de couleurs aux murs, il y a fort à parier que nous nous serions perdus dans ces dédales psychiatriques.

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La distillerie abandonnée

Issu d’une famille juive qui cultivait le tabac en Bessarabie, une région à cheval entre la Roumanie et la Moldavie, le propre nom de famille de la riche famille Bronfman semblait prémonitoire et lié à leur avenir. En effet, en yiddish, Bronfman signifie « fabricant de brandy ».

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Le massacre d’Oradour-sur-Glane

C’est l’un des (trop nombreux) sites représentatifs de la cruauté que l’Homme peut utiliser pour détruire ses semblables. Nous sommes le 10 juin 1944 et le Sturmbannführer (commandant) Adolf Diekmann et sa compagnie vient d’arriver dans le bourg d’Oradour-sur-Glane. Dès lors, il exige que tous les citoyens se rassemblent sur la place du Champ-de-Foire pour être contrôlés. Les SS s’assurent que personne ne reste à la maison. Sous la menace de leurs armes, ils tirent les malades, les vieillards et les invalides jusqu’à la grande place.

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