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Le Silo no. 5

Véritable emblème du Vieux-Port de Montréal, il est difficile de manquer le Silo #5, gigantesque structure de béton au sud de la rue McGill. Long d’un demi-kilomètre et haut de 66 mètres (218 pieds), le complexe est formé de 206 silos et d’un amalgame de bâtiments bâtis sur une période de plus de cinquante ans.

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Le vieux complexe de pâtes et papiers abandonné

Pour la région, il s’agit d’un vestige d’une ère industrielle aujourd’hui révolu. Alors qu’autrefois, l’usine offrait un salaire à près d’une centaine d’employés, le complexe est aujourd’hui cadenassé et désert, bien que surveillé par une vingtaine de caméras de surveillance. Les aventuriers sont d’ailleurs dénoncés et traînés devant la justice. Ici, le propriétaire ne rigole pas avec ceux qui se risquent sur sa propriété. Les vandales qui sont venus au printemps dernier ont d’ailleurs leur portrait bien en évidence sur les murs extérieurs.

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La vieille mine abandonnée

Lourdement endommagée par le temps, la vieille mine de cuivre est fermée depuis déjà plusieurs années. Alors que ses étages inférieurs sont complètement inondés d’une eau boueuse et stagnante, le rez-de-chaussée a été, quant à lui, fragilisé par un plafond de roche sédimentaire qui s’est effondré à quelques endroits.

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Les vieilles locomotives de Minas de Riotinto

L’exploitation minière de la région s’échelonne sur plus de 5 000 ans. Le paysage, aujourd’hui transformé à jamais, a des allures extraterrestres où le rouge, le jaune, le violet se mêlent au vert, au gris et à l’ocre.

La dizaine de trains abandonnés que compte le site aujourd’hui ne sont qu’une infime partie de ce paysage industriel qui s’est subitement arrêté en 1974. À son apogée, c’est plus de 150 trains qui parcourraient ce long et sinueux parcours qui s’étirait sur plus de 84 kilomètres. Chaque train comptait entre 20 et 50 wagons chargés à pleine capacité de pyrite.

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La vieille usine de superstructures abandonnée

Plus d’un siècle de savoir-faire dans la construction de méga structure en acier, ça représente des centaines de projets réalisés d’un océan à l’autre. L’histoire de la compagnie débute en 1879 à Toronto où un groupe d’hommes d’affaires flairent la bonne affaire suite à l’imposition par le gouvernement Macdonald d’un tarif protectionniste et d’une importance hausse de la demande d’acier pour la construction du chemin de fer transcanadien.

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La vieille cartonnerie

C’est le 3 octobre 2014 qu’a été entendue pour la dernière fois la sirène sonnant la fin du quart de travail. Les quelque 180 derniers employés ont ramassé leurs effets personnels et ont refermé la porte derrière eux, mettant ainsi fin à une histoire industrielle de plus de 125 ans.

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L’atelier abandonné

Ceci est l’histoire de l’industrie de fabrication de scies où les procédés ont peu évolué durant plusieurs décennies. Le résultat en est ce bâtiment qui a, certes, été agrandi au fil des années, mais dont l’intérieur a conservé son cachet d’antan. Il faut savoir que la fabrication de scies nécessite un procédé mécanique, mais également manuel, voire artisanal. Le savoir-faire de l’ouvrier est par conséquent crucial et surtout, un gage de qualité. Sur papier, la fabrication est relativement simple : on prend une feuille d’acier, on la découpe en rond et elle est ensuite martelée.

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La papetière abandonnée

C’est l’une des plus vieilles usines de pâtes et papier du Québec. Fondée en 1851 par un riche homme d’affaire état-unien, son entreprise est composée d’une demi-douzaine de bâtiments répartis sur un site d’une quinzaine d’hectares. Dire que le site est grand est un euphémisme, car non seulement dispose-t-il d’une centrale hydroélectrique, mais l’entreprise se trouve sur les deux rives de la rivière Outaouais, ce qui fait que l’entreprise se trouve au Québec et en Ontario.

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La centrale électrique abandonnée

Son architecture rappelle davantage les vieux remparts de Québec que l’image à laquelle on est habitué pour des centrales électriques.

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La vieille mine d'amiante abandonnée

L’utilisation de l’amiante par l’Homme ne date pas d’hier.  Déjà, il y a plus de 2000 ans, les Grecs l’utilisaient dans la confection de vêtements funéraires. Son nom vient d’ailleurs de sa propriété à résister au feu: άσβεστος (asbestos, c’est-à-dire « indestructible »).

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